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Voici un résumé de la chronologie des événements depuis le jour de l'accident jusqu'à aujourd'hui

 

18 Décembre 1995

 

Par une soirée enneigée à Montréal, Mme Nancy Leblond est passagère à l’avant d'une voiture compagnie de location. Circulant sur une rue résidentielle à près de 30 km heure, la conductrice de la voiture avait dérapée en descendant une côte et la voiture en question a percuté un véhicule stationné en bordure de la rue,à l'impact,le coussin gonflable côté passager avant se déploya,le coussin gonflable était défectueux,il y avait eu rupture du coussin (vice de fabrication) les gazs nocifs s'en échappas et Mme Leblond en n'a recu au visage et dans les narines,les policiers constatèrent que le coussin gonflable de la voiture était anormal et recommandèrent de le faire vérifier par des spécialistes. (Polytechnique de Montréal)

 

Les ambulanciers appliquent des jets d’eau au visage de madame Leblond pour nettoyer les substances chimiques pendant son transport vers le centre hospitalier St-Mary’s.

 

Le médecin de l’urgence inscrit sur son rapport médical que madame Leblond a été brûlée au deuxième degré par des substances chimiques.

 

Madame Leblond doit se trouver un avocat et consulter des médecins pour faire évaluer sa condition de santé.  Son dossier a été transféré à un procureur de la couronne,Me Marc - André Gravel,étant donné que le problème pouvait être un vice de fabrication,à l'époque le procureur de la couronne en question,qui était membre fondateur de l'ADQ,avait dit à sa cliente Mme Nancy Leblond,qu'il ne prenait pas de cause perdante,seulement des causes gagnantes,pourtant,il na jamais mis à terme la cause de sa cliente.

Madame Leblond à l'hôpital St. Mary's de Montréal et 24h après 

Trou dans le coussin gonflable ( vice de fabrication)

1996

 

Les brûlures chimiques de Mme Leblond ne guérirons jamais,elle éprouve des douleurs lorsque son visage est exposé à la climatisation au vent et à des changements de température brusque. Elle consulte son médecin de famille,un dermatologue et un chirurgien plastique. Les hivers québécois sont très dur à vivre et ses douleurs l'empêche d'occuper un emploi et avoir une vie normal.

 

L'expertise fait sur la voiture en question Ã  la polytechnique de Montréal,concernant l'industrielle automobile ( GM ) ainsi que la compagnie de location de voiture (Budget) qui n'avait pas entretenu les 4 pneus d'hiver de la voiture,l'expertise dit coupable,les deux compagnies en question,se défendent sur la loi québécoise du No - Fault,cette loi,les protègent,Mme Leblond à du suspendre ces études à l'Académie internationale de la mode et du design de Montréal ou il fallait y avoir une moyenne de 90 % pour avoir accès à cette prestigieuse école.  

 

Pas longtemps après l'expertise fait à la Polytechnique de Montréal,le F.B.I. ( Fédéral Bureau Investigation) ont pris les documents de Mme Leblond sans le conscentement du procureur de la couronne Me Marc - André Gravel.

 

1997

 

Les douleurs de madame Leblond s’amplifient, elle a des élancements au nerf du trijumeau aux trois branches côté facial droit et subit des sensations de décharges électriques intenses au visage. Elle consulte un autre chirurgien plastique et subit des tests au froid au visage.

Test - Réaction du visage après une courte exposition au froid

Madame Leblond adresse une lettre au Lieutenant-Gouverneur M. Jean - Francois provencal pour faire pression sur le constructeur automobile ( GM ) ainsi que la compagnie de location ( Budget)

 

Madame Leblond a parlée au téléphone de sa cause unique à Monsieur Marcel Prudhomme, sénateur, il lui a confirmé qu’un cas semblable avait été évalué à l'époque à plus de 30 000 000$ américain aux États-Unis.

 

1998

 

Madame Leblond a de la difficulté à ouvrir et fermer sa mâchoire, ce qui rend difficile la mastication des aliments et souffre de douleurs intenses qu’elle ne peut plus endurer. Elle a des vomissements fréquents,elle consulte des spécialistes en maxillo - faciale et en neurologie,son cas est très complexe,elle n'a pas de mouvements au niveau temporo mandibulaire et enfin on diagnostique une névralgie du trijumeau aux trois branches,les spécialistes concluent à des dysfonctions directement imputables à son accident du 18 Décembre 1995. 

 

Madame Leblond a dû faire des démarchent au gouvernement du Québec pour emploi et solidarité.

 

1999

 

Madame Leblond consulte des spécialistes en maxillo-facial et médecine dentaire et se faire faire deux plaques occlusales pour la mâchoire,une pour le jour et une pour la nuit. Un chirurgien en maxillo - facial de l'hopital de l'enfant - Jésus,suggère une opération pour régler la béance de la mâchoire.

 

Elle apprend par le procureur de la Couronne Me Marc - André Gravel que la loi québécoise du No-Fault l’empêche de poursuivre le constructeur automobile ( GM ) et la compagnie de location de voiture ( Budget ) pour obtenir un dédommagement.

 

2000

 

Madame Leblond se fait opérer à la mâchoire. On lui installe 19 vis à la mâchoire après une opération de 5h,Mme Leblond doit se nourrir pendant plusieurs mois à la seringue avec de la nourritures broyées et manger des pots de Bébé.

Intervention chirugicale et pose de 19 vis pour corriger son problème de béance à la mâchoire.

Première opération à la mâchoire en 2000.

 

Sans emploi et sans possibilité de travailler, vivant sur l'assistance social,Mme Leblond éprouve des problème de paiement pour ces dettes d'étude.

 

Mme Leblond rencontre son conjoint et il devient son super aidant naturel et il s'occuppe d'elle à temps plein.

 

2001

 

Madame Leblond doit se rendre à quelques reprises aux urgences de l’hôpital de l'Enfant-Jésus pour des crises sévères de névralgie du trijumeau aux trois branches,et des douleurs intenses au visage et des vomissements.

 

Des tests en médecine nucléaire démontrent qu’il n’y a pas de changements appréciables à sa mâchoire suite à sa chirurgie de 5h en 2000.

 

2002

 

Des tests de scintigraphie osseuse concluent à une dégénérescence de sa mâchoire. elle se fait refaire le même type d'opération qu'en l'an 2000,encore 5h d'opération,on consoit de nouvelles plaques occlusales pour le jour et pour la nuit. 

 

2003

 

Les grosses douleurs et sensations de décharges électriques au visage ne diminuent vraiment pas et madame Leblond consulte de nouveau son chirurgien en maxillo et un neurologue.

 

2004

 

Le médecin de famille de madame Leblond confirme qu’elle ne peut plus travailler, aller aux études ou vaquer à des occupations habituelles à cause de ses incapacités et séquelles sévères, chroniques et irréversibles. Elle ne peut conduire un véhicule et ne peut avoir d’enfants à cause de sa médication. Elle doit toujours éviter le froid, le vent et les changements de température. Ses douleurs au visage ne peuvent être maîtrisées et sa peau brûle comme du feu sans arrêt.

 

Madame Leblond est déclarée avoir des contraintes sévères à l’emploi par l'aide sociale.

 

Elle fait des démarches auprès du ministre de l'Éducation, monsieur Pierre Reid, pour avoir un accommodement sur ses dettes d'études.

 

2005

 

Madame Leblond consulte son médecin de famille. Elle a des sensations de décharges électriques à l’œil droit et à la joue et a de gros élancements aux dents et a le visage enflé et sa mâchoire est constamment douloureuse. Sa névralgie du trijumeau atteinte chimiquement aux trois branches ne peut - être contrôlée.

 

Le Ministère de l’Éducation accepte de rembourser les dettes d’études de Madame Leblond considérant son état de santé et de son incapacité à travailler.

 

2006

 

Madame Leblond subit une chute de pression et s’évanouit. On lui fait passer un électroencéphalogramme pour voir si elle ne souffre pas d’épilepsie. Elle rencontre de nouveaux spécialistes en neurochirurgie, maxillo-facial, et neurologie pour ses douleurs persistantes. Elle rencontre aussi un ophtalmologiste pour une douleur à l’œil droit.

 

Madame Leblond communique avec le ministre du Transport, Michel des Prés, pour faire pression sur le constructeur automobile fautif ( GM ) et de la compagnie de location de voiture ( Budget )

 

2007-2008

 

Madame Leblond doit consulter son médecin de famille et son neurologue à plusieurs reprises pendant l’année pour passer de nouveaux tests et des ajustements de sa médication, suite à plusieurs effets secondaires et des atteintes cognitives sévères.

 

Madame Leblond écrit au cabinet du premier ministre Jean Charest pour demander que la clause du No-Fault soit abolie, il réfère sa demande au ministre de la Justice Jacques P. Dupuis.

 

Le 23 novembre, sa demande est transférée au Ministère du Conseil Exécutif et au ministre des Transports, madame Julie Boulet.

 

Madame Leblond contacte l’animateur Claude Poirier pour qu’il débatte publiquement de sa cause. Son employeur, LCN, refuse d’aller plus loin dans ce dossier.

 

Elle écrit au cabinet du Ministre de la Justice du Québec, Monsieur Jacques P. Dupuis, pour faire d’autres pressions à propos de la loi du No-Fault. Sa demande est transférée à Madame Marie Blanchet au cabinet du ministre des Transports

 

2009-2010

 

Madame Leblond fait fréquemment des crises névralgiques aux trois branches du trijumeau et vit constamment des problèmes avec le climat et les fluctuations de température. Son état de santé ne pourra jamais s'améliorer.

 

Madame Leblond rencontre le neurologue Louis Verret pour subir une expertise médicale de son état de santé.

 

Madame Lebond contacte sur le site web de LCN,l'animateur Jean - Luc Mongrain pour qu'il debatte publiquement de sa cause unique,ce projet ne recoit pas de suite.

 

Madame Leblond a contacté l'Association des Grands Brûlés de Québec (F.L.A.M) pour obtenir de l’aide. Ils lui ont accordé une carte de membre et de l’assistance.

 

Elle a ensuite fait des démarches auprès du sénat canadien par le biais de la loi sur l’accès à l’information pour obtenir 305 pages d'accès à l'information ainsi des démarches gouvernementales touchant sa cause unique.

 

2011-2016

 

Le médecin de famille et le neurologue de madame Leblond lui recommande d’habiter dans un endroit au climat chaud et sec pour limiter les symptômes causés par les changements de température.

 

Madame Leblond consulte un neuro-ophtalmologiste pour des problèmes de spasmes à l’œil droit. Pour contrôler ses douleurs liées à la névralgie du trijumeau et ses problèmes de spasmes, il lui prescrit des traitements de Botox sur le côté droit du visage qu’elle reçoit périodiquement.

Traitements périodiques au BOTOX

Vidéos d'une crise de névralgie du trijumeau - Urgence - Hôpital de l'Enfant-Jésus - Février 2015

Pour soulager ces douleurs et contrôler les effets secondaires des médicaments, madame Leblond doit aussi prendre près de 1000 comprimés de pilules par mois.

 

Madame Leblond demande de l’aide à sa députée, madame Agnès Maltais, pour l’aider à acquitter un montant accumulé à l'université Laval pour la conception de ses plaques occlusales requises pour corriger son problème à la mâchoire. Son dossier n’ayant pas été retenu par la S.A.A.Q. à l’époque, elle ne put accepter cette demande.

 

Madame Leblond a rencontré Me Marc Bellemare ancien ministre de la justice du Québec pour discuter de son dossier et il là encouragé à poursuivre ces démarches pour faire modifier la loi québécoise du No-Fault.

 

Madame Leblond a remis des documents au journal de Québec à deux reprises pour le journaliste Richard Martineau pour traiter de sa cause unique. Elle n’a eu aucune réponse à c'est deux demandes.

 

Madame Leblond a fait des démarches auprès de la Première Ministre du Québec Mme Pauline Marois pour faire avancer sa cause unique. Mme Nancy Leblond, le 22 Novembre 2013 a reçu une lettre de la première ministre du Québec, qui disait ceci: "soyez assurée que nous avons pris connaissance avec intérêt..."  Cette lettre disait aussi: "... comme ce dossier relève du ministre des transports, M. Sylvain Gaudreault..."  Ils n'ont finalement jamais donnée suite à sa cause.

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En janvier 2015, madame Leblond contacte le Premier Ministre du Québec pour une demande d'aide personnelle pour le soutien à domicile, une demande de remboursement pour séjour à l'extérieur et le remboursement des sommes déduites par la S.A.A.Q. dans les calculs de la compensation à recevoir.  Note: Pendant toute la période où la S.A.A.Q a refusé de dédommager madame Leblond, celle-ci a dû vivre des revenus de l'assistance sociale. Lorsque la S.A.A.Q a finalement accepté de lui verser un dédommagement, elle a déduit de celui-ci toutes les sommes reçues de l'assistance sociale.

 

La député Véronyque Tremblay a accepté d'aider la Fondation pour le dépôt d’une pétition visant à modifier la loi québécoise du No-Fault à l'Assemblée Nationale.

 

Madame Leblond et son conjoint créent la Fondation Nancy Leblond. Le but de cette fondation est d'amasser des fonds pour permettre à Mme Leblond de vivre dans un climat chaud et sec pendant les saisons froides des hivers québécois.  Une partie des fonds amassés sera aussi utilisée pour finance la recherche en neurologie et neurochirurgie.

 

 

 

Site Web de la Fondation

La fondation Nancy Leblond est une fondation privée,elle met en ligne un site web pour lui permettre d'atteindre ces objectifs et de promouvoir une pétition pour pouvoir modifier la loi québecoise du no - fault.

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